Le monde pense que Noël c’est répondre à un enseignement essentiel du Nouveau Testament. On suppose que Jésus naquit le 25 décembre, et que le Nouveau Testament a mis ce jour à part en tant que fête chrétienne par excellence ! On croit que l’échange de cadeaux provient de ce que les Mages firent des présents à l’enfant Jésus.
Le mot anglais » Christmas » signifie » Messe du Christ « , une messe qui nous a été transmise par l’Eglise Catholique Romaine. Et d’où cette Eglise l’a-t-elle reçue ? De la célébration païenne du 25 décembre, en tant que jour anniversaire de la naissance de Sol, le dieu soleil. En réalité, il s’agit d’un rite antique du Baalisme que la Bible condamne, comme le plus abominable de tous les cultes idolâtres. Nulle part, dans le Nouveau Testament, il n’est fait allusion à Noël. Jamais ce jour ne fut observé par Paul, ni par les autres apôtres, ni par l’Eglise chrétienne primitive authentique.
Le fait de célébrer le 25 décembre comme étant l’anniversaire de naissance de Jésus, fait partie de ces fables dont parle l’apôtre Paul (2 Timothée 4:4), en disant qu’elles égareraient le monde en ces derniers jours. La pure vérité, c’est que Noël n’est pas du tout le jour anniversaire du Christ. Et cette fête, considérée par beaucoup comme tellement importante, n’est pas d’origine chrétienne, mais païenne – babylonienne.
La véritable origine de Noël
Si Noël a été transmis par les catholiques romains, et si ceux-ci le tiennent du paganisme, d’où les païens eux-mêmes l’ont-ils reçu ? Quelle en est la date, et le lieu d’origine ?
Il s’agit de la coutume principale qui caractérise le système corrompu, dénoncé à travers toutes les prophéties et tous les enseignements bibliques sous le nom générique de Babylone. Son origine et son point de départ se situent dans la Babylone primitive de Nimrod (épelé quelquefois » Nemrod « ). Oui, elle est issue de racines dont le commencement remonte à une époque lointaine, qui suivit de peu le Déluge. Nimrod, petit-fils de Cham, fils de Noé, fut le vrai fondateur du système babylonien qui, depuis lors, n’a jamais cessé d’emprisonner le monde dans ses tentacules – le système de compétition organisée – de gouvernements et d’empires manoeuvrés par des hommes, basés sur la politique économique de la concurrence et du profit. A Nimrod est redevable la construction de la Tour de Babel, de l’originelle Babylone, de l’ancienne Ninive, et de nombreuses autres cités. C’est lui qui organisa le premier royaume de ce monde. Le nom même Nimrod, en hébreu, est dérivé de » Marad « , signifiant » celui qui s’est rebellé « .
Un grand nombre d’anciens écrits fournissent une riche documentation sur cet homme, qui commença la vaste organisation d’apostasie opposée à Dieu, organisation qui, jusqu’à nos jours, domine le monde. Nimrod était si méchant que, selon, la chronique, il épousa sa propre mère, Sémiramis. Après la mort prématurée de Nimrod, sa mère épouse, Sémiramis, se mit à propager la doctrine diabolique de la survie de Nimrod en tant qu’être spirituel. Elle prétendit qu’un arbre adulte, éternellement vert, avait poussé en une nuit du tronc d’un arbre sec, symbolisant la naissance à une nouvelle vie de Nimrod décédé ! A chaque anniversaire de cette renaissance, disait-elle, Nimrod visiterait l’arbre éternellement vert et y déposeraient des présents. Or, le 25 décembre était le jour anniversaire de la » nouvelle » naissance de Nimrod. C’est de là que l’arbre de Noël prend son origine. Par son destin astucieux, Sémiramis devint la » Reine du ciel » babylonienne, tandis que Nimrod, sous des noms divers, devenait le » divin Fils du Ciel « . Au cours des générations, à la faveur de culte idolâtre, Nimrod devint aussi le faux messie, fils de Baal, le dieu-Soleil. Sous ce système babylonien, » la Mère et le Fils » (Sémiramis et Nimrod nés à nouveau) devinrent des objets d’adoration. Ce culte de la » Mère et l’Enfant » se répandit dans le monde entier. Les noms varièrent selon les pays et la langue. En Egypte, ce furent Isis et Osiris. En Asie, Cybèle et Deoius. Dans la Rome païenne, Fortune et Jupiterpuer. En Grèce même, en Chine, au Japon, au Tibet, se trouvent des répliques de la Madone – et ceci bien longtemps avant la naissance du Christ.
Ainsi, au cours des quatrième et cinquième siècles, alors que les païens du monde romain » adhéraient » en masse au » christianisme « , désormais devenu populaire, et apportaient avec eux leurs anciennes croyances et coutumes païennes, en se contentant de les parer de noms à consonance chrétienne, les notions de Madone et de » la Mère et l’Enfant » gagnèrent de la popularité, particulièrement au moment de Noël. Chaque fois qu’arrive la saison de Noël, nous entendons chanter l’hymne » Ô Douce Nuit, Ô Sainte Nuit « , avec son thème familier de » la Mère et l’Enfant « .
Nés dans un monde babylonien tel que le nôtre, éduqués et imprégnés de ces choses durant notre vie entière, inconsciemment, nous avons été conduits à les révérer comme saintes et sacrées. Il ne nous est jamais venu à l’idée, et nous ne nous sommes jamais permis de les mettre en doute pour chercher à savoir d’où elles viennent – si elles viennent de la Bible ou bien d’idolâtrie païenne ! Malheureusement, certains s’offensent même de la vérité. Mais Dieu ordonne à Ses fidèles ministres : » Crie à plein gosier, ne te retiens pas, élève la voix comme une trompette, et annonce à mon peuple ses iniquités, à la maison de Jacob ses péchés ! « (Esaïe 58:1).
Aussi choquant qu’ils soient, ce sont les faits évidents de l’Histoire et de la Bible ! L’authentique origine de Noël est intimement associée à l’ancienne Babylone. Elle est inséparable de l’apostasie organisée dont Satan se sert pour manœuvrer une humanité séduite tout au long des siècles. En Egypte, on a toujours cru que le fils d’Isis (nom égyptien de la » Reine du Ciel » ) était né le 25 décembre. Le monde païen a célébré cet anniversaire, connu pendant des siècles avant la naissance du Christ. Le 25 décembre n’est pas le jour de naissance du Christ. Les apôtres et l’Eglise primitive authentique ne célébrèrent jamais la naissance du Christ. Les apôtres Dans la Bible, il n’existe aucun commandement ou instruction de la célébrer. Que vous le croyiez ou non, la célébration d’anniversaires de naissance est une coutume païenne, et non chrétienne.
Nulle part, la Bible ne nous dit d’adorer » la Mère et l’Enfant « . Les apôtres et les premiers vrais chrétiens ne le firent jamais. Les Ecritures parlent d’un ange qui s’adressa à Marie, disant : » Je te salue, toi à qui une grâce a été faite ; le Seigneur est avec toi « ; l’adjonction » Tu es bénie entre toutes les femmes « NE SE TROUVE PAS dans les meilleurs manuscrits originaux (en grec). Elisabeth dit à Marie : » Tu es bénie entre les femmes « . Et Marie elle-même dit : » désormais toutes les générations me diront bienheureuse « (Luc 1er:28, 42 et 48). Elle fut hautement bénie par le Seigneur, et le fait en a été reconnu, dès ce moment-là, par toutes les générations. Cependant, CELA NE SIGNIFIE NULLEMENT QU’ELLE DOIVE ÊTRE DEIFIEE, ADOREE, TENUE POUR UN ÊTRE DIVIN, alors qu’elle était simplement humaine. Le culte quasi universel, rendu à Marie comme » Mère de Dieu « , la doctrine de l’immaculée conception qui fait d’elle une contrefaçon de médiatrice entre l’homme et Dieu, ne sont que le prolongement de cette antique idolâtrie babylonienne, commencée par les habiles tromperies de Sémiramis, la femme de Nimrod. Idolâtrie inextricablement liée à l’idée de » Christmas » ou » Noël « .
C’est ainsi que les anciens rites des » Mystères chaldéens « , fondés par la femme de Nimrod, se sont au cours des âges infiltrés dans l’Eglise catholique à l’aide de nouveaux noms à consonance chrétienne, et de là dans les congrégations des Eglises Protestantes, pour pénétrer finalement dans tous les milieux.
Origine de la guirlande de houx, du gui, de la bûche de Noël
Voyons maintenant d’où nous est venue cette coutume du Houx. Chez les païens, le houx était utilisé à la fête du solstice d’hiver parce qu’il était consacré au Soleil, et parce qu’il était supposé être doué de pouvoirs bénéfiques miraculeux.
Quant à la pratique de s’embrasser sous le gui, c’était une première étape sur le chemin d’une nuit de réjouissances dégénérant en débauche, en beuveries et en orgies – pour célébrer la mort du » vieux soleil » et la naissance du nouveau, lors du solstice d’hiver. Notons bien que le gui, plante sacrée utilisée dans les fêtes païennes, est un parasite. Les baies de houx étaient aussi consacrées au dieu-Soleil. La bûche de Noël (anglais : » yule » log) est en réalité la » bûche du soleil « . » Yule » signifie » roue « , symbolique représentation païenne du soleil. Ce qui n’empêche pas, aujourd’hui, les soi-disant chrétiens de parler de la » saison sacrée » (yule) – allusion païenne au Christmas ou à Noël.
L’usage d’allumer des feux et des bougies à la célébration d’une cérémonie chrétienne, n’est que la continuation d’une coutume païenne, censée encourager le dieu-Soleil déclinant lorsqu’il atteint le point le plus bas à l’horizon du ciel méridional. Les Américains disent : » Le houx, le gui, le yule log… sont autant de reliques d’une époque pré-chrétienne « . La vérité est que cela est pur paganisme. L’ouvrage » Réponses à des Questions » (recueil composé par Frederick J. Haskins, et accessible dans les bibliothèques publiques), dit ceci : » L’usage de guirlandes à Noël est considéré par des autorités les plus dignes de foi comme ayant son origine dans les coutumes païennes consistant à décorer les édifices et endroits de culte lors d’une fête qui avait lieu le même jour que Noël. L’arbre de Noël vient d’Egypte, et remonte à une époque longtemps antérieure à l’ère chrétienne « .
Qu’en est-il du Père Noël ?
Mais ce cher vieux Père Noël est-il aussi une créature issue du paganisme ? Eh oui ! Il l’est bel et bien, et son vrai caractère est fort éloigné de la bienveillance et de la sainteté que beaucoup de gens lui prêtent.
Le Père Noël ou Saint Nicolas était un évêque catholique romain, qui vécut au IVe siècle de notre ère. Voir à ce propos le dictionnaire encyclopédique » Larousse du XXe siècle « . Il est intéressant de noter aussi ce qu’en dit l’Encyclopédie britannique, Vol. 19, page 648, (11e édition) : » St. Nicolas, évêque de Myre, … un saint honoré le six décembre par les Grecs et les latins… La légende rapporte qu’il donna clandestinement des dots aux trois filles d’un citoyen appauvri… et, dit-on, c’est là l’origine de la vieille coutume de faire secrètement des cadeaux le soir de la St. Nicolas (6 décembre). Cette date fut transférée par la suite au jour de Noël, d’où l’association de Christmas [Noël] avec Santa Claus [St. Nicolas]… « . Toute l’année, les parents punissent leurs enfants lorsqu’ils ne disent pas la vérité. Toutefois, au moment de Noël, eux-mêmes disent des mensonges à leurs enfants en ce qui concerne le » Père Noël » ! Peut-on s’étonner alors que ces enfants, lorsqu’ils grandissent et apprennent qu’ils ont été trompés, non seulement, perdent confiance en leurs aînés, mais encore, chose plus grave, en viennent à croire que Dieu également n’est qu’un mythe ?
Est-il chrétien d’enseigner aux enfants des mythes et des mensonges ? Dieu dit : » Tu ne porteras point de faux témoignage contre prochain » (Exode 20:16). Ceci peut sembler sans conséquence et justifiable à la raison humaine, mais Dieu dit : » Telle voie paraît droite à un homme, mais son issue, c’est la voie de la mort « . Et voilà comment, lorsque nous sondons les faits pour éprouver leur valeur, nous apprenons avec surprise que cette habitude de célébrer Noël, tout compte fait, n’est pas une célébration chrétienne, mais une coutume païenne – une de ces voies de Babylone dans laquelle les chrétiens se sont fourvoyés !
Par
Joseph-André Bene Ministère Prédication.
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